Un enregistrement fidèle et précis des reliefs morphologiques (fig.34,35,36,37), les caractéristiques physiologiques de la surface d’appui, en particulier le comportement viscoélastique et hémodynamiques de la
muqueuse.
− Bonne appréciation du volume des zones de réflexion
− Bon enregistrement des organes paraprothétiques par le joint périphérique
pour éviter d’éventuelles interférences avec la future prothèse.
− Bonne répartition du matériau d’empreinte qui doit être d’épaisseur moyenne (fig.35).
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